Voici une fille, qui ne m'attire pas physiquement mais là n'est pas le propos, avec un sexe magnifique.
Deux lèvres énormes, qui s'étirent sans fin, un bout de peau sublime, de la chair magnifique. Quand je dis énorme, c'est que par rapport au sexe rectifié il y a de la matière, mais ce n'est aucunement une limite, un sexe encore plus gros, plus lourd, plus long ne serait que plus excitant. Une chair qui donne envie de palper, de sentir, de malaxer, de pétrir, d'étirer, de gouter, de lécher, de manger, de pincer, de tordre, de mesurer ; un sexe qui ne ferme pas l'orifice et qui pourtant le protège en détournant le voyeur de son chemin.
L'excitation se mesure au poids dans ce cas, un étirement supplémentaire et c'est le plaisir du voyeur qui augmente, comme un curseur de plaisir.
Pour toutes celles équipées de cette appendice de plaisir, cet hameçon sexuel, ne modifié rien, au contraire, cultivé, arrosé, étiré pour augmenter encore les pétales de votre fleur.
Cette zone est une concentration de terminaisons nerveuses source de sensations, comme le prépuce, un espace à chérir pour le plaisir.
Et si ce n'est pas symétrique, si la coloration n'est pas uniforme, peut importe, étirer s'il le faut mais il faut tout garder, quelque part des yeux veulent vous voir, des doigts toucher, une bouche s'y poser.
honeyslusciouslabia
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